“Je n’en peux plus…” , Yo no puedo mas en Espagnol.Le nom de cette cuvée vient de l’exaspération de Lionel après le déclassement de cette cuvée en vin de table et donc devant l’incompréhension des dégustateurs. Et pourtant…
Un vin de table donc. Législation oblige, le millésime n’étant pas indiqué sur ceux-ci, les chiffres romains sur l’étiquette vous donnent l’indication précieuse…
Nous aimerions en avoir beaucoup à déguster des bouteilles comme celle-là, d’où son succès grandissant. Une cuvée fruitée (beaucoup de cassis), un corps de glisse aérien (un vin de “poudreuse”), c’est fin, droit et frais. Nous avons goûté à plusieurs millésimes, et à chaque fois le même plaisir… beaucoup de Carignan, un peu de Grenache et de Syrah, le cocktail bien connu des amoureux des vins du Sud. Si tous les vins de table étaient du même acabit, les appellations ne serviraient plus rien, si ce n’est à l’export.
Cela n’est pas très grave, l’essentiel est que cette bouteille arrive jusqu’à vous, et c’est chose faite.